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Aper�u du corrig�. La femme est-elle l’� avenir de l’homme ?

La cél�bre citation d’Aragon peut étonner à premi�re vue. En effet, en quoi peut on privilégier un sexe plutôt qu’un autre pour l’avenir de l’Humanité? Il faut s’interroger principalement sur de th�me d’avenir. En effet, l’avenir est une notion vague et incertaine. Si on l’envisage du point de vue d’un état futur, l’expression la femme est l’avenir de l’homme � peut paraître absurde. l’homme ne se transformera pas en femme! Cependant si on parle de l’avenir de point de vue du progr�s de l’Humanité, la phrase prend une tournure plus politique. En effet, le femme a longtemps été écartée de la sc�ne publique, elle ne pouvait prendre aucune décision concernant l ‘état voire même concernée la vie sociale. La société a été tr�s longtemps phallocrate, l’homme s’est réservé exclusivement la place de maître et de dirigeant. Ainsi, l’ histoire de l’homme, c’est à dire son passé, n’a t elle été créée que par les décisions de du sexe masculin. La société a été fondée sur un mod�le de pensée masculine, la femme n’a été considérée que comme un instrument reproducteur ou au mieux un soutien. Si la femme est l’avenir de l’homme, ce n’est pas seulement en tant que génitrice elle est l’avenir de l’homme d ans le sens où la libération de la femme a aboli beaucoup d’obstacles pour celle ci.

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Grâce aux ouvertures des grandes écoles, à la permission de gouverner, à la démocratie, la femme peut enfin agir sur la sc�ne politique. Elle peut intervenir dans les décisions sociales, du moins dans la plupart des sociétés le XXe si�cle a été celui ou la femme a acquis le plus de droits, le groupe de décisionnaires n’a jamais été aussi féminin. Ainsi nous assistons à une nouvelle époque, celle de l’�re de la femme. Grâce aux lois de parité, la femme pourra plus influencer sur les choix politiques, l’Humanité va connaître un état jusqu’alors inconnu, un état où la femme aura son mot à dire. L’avenir de l’homme se comprend alors comme l’avenir de l’humanité. Cependant, l’homme ne se trouve t il pas écarté de la sc�ne, ne doit on pas dire comme Marx que l’homme est l’avenir de l’homme �, mais utiliser ce terme d’homme comme genre humain. La présence de la femme dans les actions publiques va certes modifier le mod�le social au fur et à mesure mais elle ne pourra le faire qu’en parité avec l’homme. Ne doit on alors pas plutôt dire que la femme va influencer l’avenir de l’homme et le sien par la même occasion?

. Nous ne croyons plus que la v�rit� soit encore la v�rit� d�s qu’on lui retire ses voiles. nous avons trop v�cu pour croire cela. Aujourd’hui c’est pour nous une affaire de convenance qu’on ne saurait voir toute chose mise � nu, ni assister � toute op�ration, ni vouloir tout comprendre et tout “savoir” [. ] On devrait mieux honorer la pudeur avec laquelle la nature se dissimule derri�re des �nigmes et des incertitudes bigarr�es. Peut-�tre la v�rit� est-elle femme et est-elle fond�e � ne pas laisser voir son fondement (Gr�nde), peut-�tre son nom, pour parler grec, serait-il Baub�. O ces Grecs, ils s’entendaient � vivre. ce qui exige une mani�re courageuse de s’arr�ter � la surface, au pli, � l’�piderme ; l’adoration de l’apparence, la croyance aux formes, aux sons, aux paroles, � l’olympe tout entier de l’apparence. � Nietzsche Nous savons d�sormais trop bien certaines choses, nous autres hommes conscients. � comme nous apprenons d�sormais � bien oublier, � bien ne-pas-savoir, en tant qu’artistes. [. ] Ce mauvais go�t, cette volont� de v�rit�, de la “v�rit� � tout prix”, ce d�lire juv�nile dans l’amour de la v�rit� nous l’avons d�sormais en ex�cration. nous sommes trop aguerris, trop graves, trop joyeux, trop �prouv�s par le feu, trop profonds pour cela. Nous ne croyons plus que la v�rit� soit encore la v�rit� d�s qu’on lui retire ses voiles. nous avons trop v�cu pour croire cela. Aujourd’hui c’est pour nous une affaire de convenance qu’on ne saurait voir toute chose mise � nu, ni assister � toute op�ration, ni vouloir tout comprendre et tout “savoir” [.

Ce qui n’a pas de sens (ni signification, ni direction), qui est aveugle, sans but.

Ce qui est acquis se d�finit par opposition � ce qui est inn� (pr�sent � la naissance, qui appartient � la nature d’un �tre). Pour Descartes, l’id�e de Dieu est inn�e, et. pour Rousseau, nous avons un sentiment inn� de la justice.

On peut distinguer diff�rentes formes d’amour. Le sentiment amoureux qui nous fait aimer une personne pour ses qualit�s morales et son apparence physique n’est pas de m�me nature que l’amour d’une m�re pour son enfant. L’amour du prochain s’�tend � toute l’humanit�. L’amour-propre est l’estime que l’on a pour soi-m�me. L’amour mystique est celui que le croyant �prouve pour Dieu.

Au sens vulgaire, l’apparence s’oppose au r�el car elle n’est qu’un aspect trompeur de la r�alit�. Mais, en m�taphysique, le mot apparence peut aussi d�signer ce qui, dans la repr�sentation, est donn� au sujet qui per�oit, con�oit les choses.

Le verbe vient du latin credere, qui signifie “tenir pour vrai”, “faire confiance”. La croyance implique donc l’id�e d’une absence de connaissance, car il s’agit toujours de “se fier” au t�moignage d’autrui.

Pour Kant, elle peut d�signer l’opinion (“croyance qui a conscience d’�tre insuffisante aussi bien subjectivement qu’objectivement”), la foi (“si la croyance n’est que subjectivement suffisante, et si elle est en m�me temps tenue pour objectivement insuffisante, elle s’appelle foi”), et la science (“croyance suffisante aussi bien subjectivement qu’objectivement”).

Le terme d’histoire d�signe deux r�alit�s diff�rentes: 1) la science qui �tudie le pass� de l’humanit� et qui relate et interpr�te les faits. 2) les �v�nements, les actes, les faits du pass�, cad la m�moire des hommes.

Evolution de l’humanit� ou de la civilisation vers un �tat sup�rieur. Au sens strict, ce mot implique une am�lioration, un perfectionnement.

Au sens large, ensemble des forces psychiques portant � l’action. Inclinations, d�sirs, passions rel�vent de la volont� ainsi entendue. C’est la d�termination arr�t�e d’accomplir une certaine action. VOLONTE DE PUISSANCE: Cette notion n’a, dans la philosophie de Nietzsche, aucune connotation militaire, belliqueuse. Celui qui est puissant est celui qui a le courage et la force de r�aliser ce que la vie lui demande de r�aliser. VOLONTE GENERALE: Selon Rousseau, elle ne peut pas s’identifier seulement � la majorit�. La volont� g�n�rale est unanime. Elle exprime en sa totalit� l’esprit d’une communaut�.

Principe justificatif d’un raisonnement, d’une loi.


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