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Faut il redouter la mort dissertation proposal

Faut il redouter la mort dissertation proposal une situation


Faut-il craindre la mort?

L’ensemble des philosophes antiques avaient une tendance assez agaante vouloir passer pour virils et courageux. Qu’on lise L’Apologie de Socrate ou peut-rrtre un la Lettre Mnce. on nous explique que la mort n’est tout simplement pas redouter. Socrate se justifie (en 29ab) componen le fait que nous ne pouvons pas savoir ce qu’est la mort, de sorte que changer de conduite componen peur en mort, serait agir componen ignorance. Alors que lui, qui sait ce qu’il sait et sait ce qu’il ne sait pas, n’agit pas componen ignorance, et donc, ne change pas ses actes en fonction de sa crainte en mort. Quant picure, il prtend savoir ce qu’est la mort, elle est la fin de toute sensation et la disparition complte en personne, ce qui implique que personne ne doit redouter la mort, puisque personne ne sera l pour ressentir quoi que ce soit.

Ces philosophes ngligent videmment le fait que la peur en mort est essentiellement de nature psychologique, et que, mme si la personne est profondment persuade que la peur en mort est absurde, elle continue quand mme ressentir cette crainte. On ne peut pas se dbarrasser d’un sentiment simplement en se donnant plusieurs raisons du caractre inappropri de cette peur. Il y a chez l’ensemble des Anciens une prsuppos assez lourd selon lequel nous pouvons entirement nous matriser, que tout ce qui peut ВЁВєtre psychologique est matrisable. Nous avons renonc cette ide fausse. On trouve encore quelques thories selon lesquelles l’ensemble des sentiments sont volontaires (chez Sartre, notamment), mais plus grand monde ( raison) pour dfendre ces thories. Pour tre united nations tout petit peu plus prcis, il sera clair que nous pouvons indirectement dclencher united nations sentiment, en pensant quelque chose qui suscite en nous united nations sentiment, mais jamais le dclencher directement.

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De mme, en prsence de certaines situations, il sera pour nous invitable que nous soyons submergs componen united nations sentiment. En cas de danger grave et imminent, l’ensemble des gens se mettent avoir peur, s’affoler, sans que ces ractions soient contrles.

En rsum, de fait, nous craindrons la mort quoi que l’on puisse dire. Mais il reste quand mme la question plus normative, savoir celle qui demande si cette crainte est justifie ou peut-rrtre un non.

La manire platonicienne, ou peut-rrtre un socratique, est bien sr beaucoup plus modeste que celle d’picure, puisque Socrate dit qu’il ne sait pas ce qu’est la mort, alors qu’picure dit qu’il le sait. Pour ce dernier, la vrit du matrialisme implique que l’esprit ne survit pas la mort du corps, donc que l’esprit ne doit pas redouter ce qui se passe aprs la mort. J’adopte le point de dpart de Socrate, justement cause de sa modestie qui ne prsuppose rien.

Mais Socrate fait united nations raisonnement qui me semble fallacieux. Boy argument est le suivant. Il sera toujours mauvais d’agir sous le coup de l’ignorance. Or, nous ignorons ce qu’est la mort. Donc, il sera mauvais ou peut-rrtre un inadquat de craindre la mort.

Comme je l’ai dit, je ne contesterai pas l’ide que nous ignorions ce qu’est la mort. Je vais donc critiquer la prmisse restante, savoir qu’il est toujours mauvais d’agir sous le coup de l’ignorance. Il me semble au contraire qu’il est tout fait pertinent de craindre la mort. L’ensemble des gens qui la redoutent comme united nations terrible danger ont tout fait raison de le faire.

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Quant ceux qui la provoquent, se suicident, il me semble qu’ils prennent united nations gros risque, mais que, si leur vie devenait vraiment difficile, ils ont quand mme raison d’assumer ce gros risque.

Pour commencer, il sera pertinent de faire une distinction anachronique mais utile, entre le risque et l’incertitude. On dfinit gnralement le risque comme une situation dans laquelle nous connaissons tous l’ensemble des vnements possibles, et la probabilit de chacun, sans savoir encore l’vnement qui veterans administration advenir. Et l’incertitude est dfinie comme une situation dans laquelle nous ne connaissons pas la probabilit de chaque vnement, ni mme l’ensemble des vnements possibles.

Face la mort, nous sommes dans l’incertitude. Nous avons quelques conceptions. une approche naturaliste dans laquelle l’me n’existe pas indpendamment du corps et ne survit pas sa dcomposition, une approche “orientale” dans laquelle l’me passe d’un corps l’autre, en se rincarnant plusieurs reprises, une approche “occidentale” dans laquelle l’me survit la mort du corps et veterans administration dans united nations lieu comme le paradis, etc. Mais d’une part nous n’avons aucune certitude que la liste plusieurs conceptions soit close, et surtout nous n’avons aucun indice dfinitif et indiscutable qu’une conception est meilleure qu’une autre.

Cela signifie que ce que nous craignons dans la mort, ce n’est tout simplement pas directement l’ensemble des souffrances, l’ensemble des chtiments ou peut-rrtre un que sais-je encore, mais plutt l’incertitude relative ce que nous vivrons, une fois mort. Or, l’incertitude est tout fait redoutable. Vehicle il faut maintenant faire une nouvelle distinction, united nations peu moins usuelle, mais assez facile comprendre entre l’incertitude totale et la simple incertitude. L’incertitude totale est celle de celui qui ne connat pas la liste plusieurs vnements possibles. La simple incertitude est celle de celui qui connat (au moins avec une bonne approximation) la liste plusieurs vnements possibles, bien qu’il ne sache pas trs bien la probabilit de chacun. Quand nous sommes en vie, nous sommes dans l’incertitude simple. nous savons ce qui peut nous arriver. Nous savons qu’il y a de grands dangers, de belles rjouissances, plusieurs moments d’ennui, etc. Nous ne savons pas toujours comment l’ensemble des dclencher, l’ensemble des viter, etc. mais la gamme plusieurs expriences humaines est assez bien dlimite. Componen contre, la mort nous place face une incertitude plus forte, o cette gamme plusieurs expriences n’est mme pas connue.

Craindre la mort, c’est donc d’abord craindre la perte de contrle, la perte de connaissance. C’est, assez paradoxalement, une crainte trs platonicienne. Et c’est ce qui la rend tout fait justifie. Il sera toujours justifi pour une personne, de ne faire que ce qui ne la place pas dans une situation o elle ne peut plus matriser ce qui lui arrive. Et il sera aussi justifi de tout faire pour viter autant que possible plusieurs situations dans lesquelles elle ne sait pas ce qui peut lui arriver. J’ai dfini trois rangs dans la connaissance. la connaissance du risque, l’incertitude simple, et l’incertitude totale (bien entendu, il faut ajouter ces trois rangs le premier. la connaissance qu’un vnement veterans administration avoir lieu ou peut-rrtre un pas). Et il y a une norme pratique pour l’agent de tout faire pour rester dans le rang de connaissance suprieur, ou peut-rrtre un pour y remonter. Cette norme est la fois thorique et pratique. Parce que, bien sr, l’exigence thorique fondamentale se confond avec le devoir de chercher la vrit et la connaissance la plus complte possible. Mais c’est aussi une exigence pratique, puisque l’action est d’autant plus couronne de succs qu’elle s’appuie sur une connaissance solide. Ne pas s’appuyer sur plusieurs connaissances pour agir, alors qu’on le pourrait, c’est commettre une faute pratique (on pourrait d’ailleurs dire qu’il s’agit d’une faute morale, bien que le terme serait ici utilis de manire inhabituelle). Ainsi, ne pas craindre la mort, c’est ne pas redouter une situation o nous ne savons pas ce qui peut se passer. C’est commettre une faute pratique. Au contraire, la craindre, c’est redouter de perdre partiellement ou peut-rrtre un totalement la matrise que nous avions sur le monde. Cette crainte est justifie.

A la question de savoir s’il faut craindre la mort, je rponds donc oui. La nature est united nations espace que nous matrisons relativement bien, et dans lequel nous savons quoi nous attendre. L’au-del est united nations espace dont nous ne savons rien, pas mme s’il existe. Cette perte de connaissance et de matrise est toujours craindre. Je parlai au dbut de cet article du suicide, et on peut en dire united nations mot pour conclure. est-il justifi de sacrifier toute sa connaissance et sa matrise pour faire cesser une vie misrable ou peut-rrtre un douloureuse? La rponse est non. il n’est jamais justifi de se placer dans une situation dont on ne sait rien. Il existe united nations nombre infini de reprsentations de l’au-del qui sont encore pires que la pire plusieurs existences terrestres. Le suicide, qui signifie ne plus craindre la mort, mais la dsirer, est donc toujours injustifiable. Le suicide est united nations pari fou.

Mais qu’on me comprenne bien. injustifiable ne veut pas dire condamnable. Aucun individu ne peut arriver la conclusion qu’il doit le faire, mais il serait ignoble et dtestable d’interdire aux personnes de le faire, ou peut-rrtre un de l’ensemble des punir si elles essayaient. Vehicle la psychologie et la raison relvent de deux ordres diffrents. Qu’on ne puisse jamais justifier le suicide est une chose, mais il peut trs bien arriver qu’une vie deviennent psychologiquement invivable. Seulement, la simple possibilit que l’au-del soit encore pire suffit rendre rationnellement injustifi le suicide.

Il y a chez l’ensemble des Anciens une prsuppos assez lourd selon lequel nous pouvons entirement nous matriser, que tout ce qui peut ВЁВєtre psychologique est matrisable. Nous avons renonc cette ide fausse

Tu te fais vraiment plusieurs ides sur ces malheureux anciens, qui sont pour toi apparemment tous d’accord sur l’ensemble des mmes btises (as-tu conscience que quand on parle plusieurs penseurs de l’antiquit, on ne dsigne pas une cole de pense ramasse sur elle-mme, mais united nations millnaire d’histoire en pense et trois continents. )

Aucun stocien, pour prendre le courant qui pourrait paratre le plus extrme en la matire, n’a jamais dit que tout ce qui peut ВЁВєtre psychologique est matrisable. Tout ce qu’on peut dire, dans la perspective d’pictte componen exemple, est qu’une reprsentation, quelle qu’elle soit, ne peut pas se traduire en action sans l’assentiment en personne, qui peut donc aussi s’abstenir d’agir. Si tu trouves cela aberrant, tu dois aussi rejeter l’institution judiciaire, parce que c’est peu prs ce qu’on attend de quelqu’un de responsable.

Componen ailleurs, il y a dans le stocisme une claire distinction entre le progressant, que nous sommes tous, et le sage que nous devons tre mais qui peut ВЁВєtre clairement une figure idale. Cette distinction bien connue aurait d t’inciter tre united nations peu plus charitable.

J’aimerais bien savoir o tu trouves chez Sartre l’ide que l’ensemble des sentiments sont volontaires. Je suis sr que c’est united nations contresens total. L’ensemble des sentiments ne sont certainement pas pour lui plusieurs donnes naturelles qui imposent united nations comportement, mais ils ne sont pas volontaires. La philosophie de Sartre ne met pas au center la volont, mais le projet existentiel qui peut ВЁВєtre bien autre chose qu’une dcision issue d’une dlibration rationnelle.

Pour en venir au fond, je dois dire que j’ai beaucoup de mal comprendre ceux qui disent que la peur en mort est justifie componen l’incertitude quant la nature de l’au-del. C’est dj assez curieux d’entendre cela en part d’un religieux, mais en part d’un athe, c’est consternant. Il n’est quand mme pas trs difficile de s’apercevoir que l’ide d’au-del est pathologiquement produite componen la crainte de mourir (qu’elle ne saurait donc videmment l’expliquer !) et que l’ensemble des diverses conceptions qu’on s’en fait sont d’aimables et rassurantes foutaises. bien marri que tu donnes du crdit ces foutaises.

Pense aux passages d’un avion, dont le vol veterans administration s’craser dans united nations dsert et qui n’ont aucun espoir d’en rchapper. Si leur crainte de mourir tait seulement due l’incertitude l’gard de leur destination dans l’au-del (rincarnation, limbes, enfer), ils ne seraient pas dans une situation diffrente de celle de passagers d’un avion perdu dans l’ensemble des nuages sans moyens de localisation, qui doit atterrir d’urgence mais ne sait pas o il le fera. Ces gens l ont bien une crainte lie l’incertitude de leur destination, mais cela n’a rien de commun avec la peur en mort. La peur en mort, c’est la crainte de l’anantissement, et cette anantissement est certain, si certain que c’est prcisment pour cette raison qu’un grand nombre de croyants embrassent une religion.

Cela dit, on peut considrer abstraitement la question de savoir s’il est raisonnable, rationnel de prendre une dcision propos d’une situation dont on ne sait absolument rien, sans le relier la mort. Tu assertes que il n’est jamais justifi de se placer dans une situation dont on ne sait rien, mais cela mrite assurment justification. Le principe de raison insuffisante peut trs bien apporter ce genre de justification. Mais il sera vrai qu’il n’est pas trs solide. C’est une vraie question ( la diffrence de celle que tu poses en titre de ce publish)

Sur l’ensemble des Anciens, nul doute qu’on peut trouver united nations nom d’auteur pour peu prs n’importe quelle thorie (on voit assez bien cela dans L’ensemble des acadmiques de Cicron). Mais restons raisonnables. qu’on parle de Platon, Epictte, Marc Aurle, Snque, on trouve partout cette ide d’une matrise totale de boy intriorit. Que cela reste united nations idal me parat tout aussi fautif que si on prtendait que c’est effectivement ralisable.
Quant ta lecture de Epictte, elle est la fois profondment rductrice, parce qu’elle rduit le problme de l’assentiment celui du passage l’action, et littralement fausse ainsi formule, justement parce que Epictte rpte que notre corps n’est pas en notre pouvoir, et qu’il se peut donc que l’abstention ou peut-rrtre un l’action soit incontrle. C’est Epictte qui rend problmatique l’existence de l’institution judiciaire, pas moi.
Et puis, soyons honnte. il suffit de parcourir deux minutes l’ensemble des Entretiens ou peut-rrtre un le Manuel pour tomber sur united nations chapitre o il sera dit que l’on peut triompher en crainte en mort. Cela n’a rien de trs audacieux de penser que, si cet exemple revient trs souvent, c’est justement parce qu’il s’agit du sentiment le plus dur matriser.
Concernant Sartre, mes sources sont Esquisse d’une thorie plusieurs motions, lue componen Tapollet dans motions et valeurs.

Sur le fond, la fin de ta remarque claire trs bien mes intentions. A component la mort, on trouve difficilement united nations exemple de situation dont on ne sait vraiment rien. C’est pourquoi cela me semblait le meilleur exemple. Pour une fois, j’ai adopt une mthode cartsienne plutt que pragmatiste. considrer comme possible tout ce dont on n’a pas montr avec une certitude absolue que c’est impossible (alors que le pragmatisme tient pour possible ce qui peut raisonnablement avoir lieu, ce qui exclurait bien sr l’au-del). A ma connaissance, il n’y a pas de preuve dfinitive de l’inexistence de l’au-del. Donc, on fait comme si c’tait possible. Ceci dit, comme tu l’as bien compris, l’au-del ne m’intresse pas.
Sur le manque de justification de mon principe, je concde tout fait. Je le ferai componen la suite.

Mais peut-tre y a-t-il une autre manire de discuter mon principe. se demander s’il est toujours injustifi de passer d’une situation de certitude totale, une situation de risque. Vehicle il y a dj ce stade united nations changement qualitatif.

qu’on parle de Platon, Epictte, Marc Aurle, Snque, on trouve partout cette ide d’une matrise totale de boy intriorit

Ainsi pour toi, l’ensemble des anciens se rsument Platon et l’ensemble des stociens. Et mme l, on ne trouve nulle part cette ide d’une matrise totale de boy intriorit, si componen intriorit tu entends comme auparavant tout ce qui peut ВЁВєtre psychologique. Si on prends componen exemple le fameux dbut du manuel, on lit que dpendent de nous opinion, tendance, dsir, aversion, mais non la reprsentation.

Ce que j’ai dit d’Epictte est vrai et se retrouve dans l’ensemble des textes mais je n’ai pas dit que la thorie stocienne de l’assentiment et de ce qui dpend de nous tait au fondement en responsabilit pnale. Sois attentif au sens de l’implication dans ma phrase. On ne peut pas non plus m’accuser de rduire l’assentiment l’impulsion, puisque je me suis content de rappeler que l’assentiment prcde ncessairement l’impulsion, ce qui peut ВЁВєtre united nations plusieurs principes basiques du stocisme !

Pour Sartre, je n’ai malheureusement pas le texte sous la primary, mais je persiste dire que c’est united nations contresens, parce que le tour de pressure (ou peut-rrtre un l’absurdit) de ce texte, si je me souviens bien, est prcisment de vouloir montrer que le sentiment est intentionnel mais involontaire, au sens de non dlibr, dcid. Tu prends quand mme united nations peu l’ensemble des gens pour plusieurs idiots.

C’est dj fou de prendre en considration dans la thorie tout ce dont il sera impossible de prouver que cela n’existe pas (au phlogistique, la pierre philosophale, au principe vital), mais dans la pratique, c’est le sommet en dmence. Tu dis que le suicide est united nations pari, mais qui parierait boy repas sur l’existence du pre Nol. Pourtant c’est irrfutablement une possibilit, d’aprs toi. United nations pari sur l’existence du pre Nol est trs raisonnable, te suivre.
Le voyageurs perdu dans la fort de Descartes pourrait se contenter de prier Dieu de lui envoyer united nations ange pour le ramener dans boy foyer. trangement, la mthode cartsienne en matire pratique est plutt de se mettre marcher.
Une dcision rationnelle suppose videmment d’liminer une infinit de situations ou peut-rrtre un d’ tats en nature dont l’impossibilit n’est pas dmontrable mais qu’il ne vaut tout simplement pas la peine de considrer (comme l’ensemble des foutaises sur l’au-del), et qui, si on l’ensemble des considrait, rendraient en fait impossible cette dcision rationnelle.

C’est amusant que tu dclares que l’au-del ne t’intresses pas. C’est pourtant ce qui intresse tout le monde, et quelque chose que le grand public s’attend voir traiter componen quelqu’un qui se prsente comme united nations philosophe.

Brivement. je me suis tromp, ce n’est pas Tappolet qui parle de Sartre, mais de Sousa, dans le dictionnaire de philosophie morale, article motions. L’auteur estime qu’on verrait cela dans l’Etre et le nant et dans l’Esquisse.
Sur assentiment et reprsentation d’accord.

Si on inclut dans le rationnel ce qui relve du raisonnable, il sera certain que tout cet article n’a pas lieu d’tre. Et je suis assez d’accord pour le faire. Mais j’ai essay ici de prendre une autre voie.
D’ailleurs, concernant la dlimitation de ce qu’on peut tenir pour plusieurs foutaises, c’est malgr tout united nations sujet qui n’est pas simple. Quand plusieurs groupes sociaux relativement nombreux ont plusieurs croyances, il semble raisonnable d’admettre que ces croyances ne sont pas absurdes. En tout cas, je ne trouve pas correct d’utiliser la notion du raisonnable pour chasser en discussion plusieurs opinions qu’au moins certaines personnes sont prtes assumer. Elle vaut pour chasser plusieurs pseudo-doutes de philosophes, pas plusieurs croyances religieuses. Du coup, je me demande bien sur quoi se fonde notre rejet sans discussion de celles-ci. Tu as l’air de dire que c’est notre spcialisation de philosophes qui nous a rendus capables de comprendre que la sparation de l’me et du corps n’est pas possible. Probablement.


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