Explication en citation de Dostoievski sur l’absence de Dieu :
“Rien n’est plus sduisant pour l’homme que sa libert de conscience. Mais rien n’est une plus grande cause de souffrance ” Dostoievski. L’ensemble des Frres Karamazov. 1880. (citations de Dostoevski )
Dostoievski et la morale :
Pour Dostoevski. le problme de Dieu n’est pas celui en reconnaissance en vrit, mais celui de l’limination du doute. La principale source de doute pour Dostoevski est le paradoxe plusieurs souffrances videntes dans le monde et la notion d’un Dieu aimant.
Dostoevski a exprim ce conflit dans Ivan Karamazov, « Ce n’est pas Dieu que je n’accepte pas, je n’accepte pas le monde qu’Il a cre ». L’ensemble des Frres Karamazov, le roman dans lequel Dostoevski traite le plus explicitement la question de Dieu, a t planifie d’une manire qui «oppose la foi contre l’athisme.” La Foi est principalement reprsentes dans l’ensemble des personnages aimants. Aliocha et Zosime, travers lesquelles Dostoevski a vu « united nations christianisme pur idal ».
” Dieu et le diable se battent l-bas et le champion de bataille est le cur plusieurs hommes ”
Pour Aliocha, il faut dfendre ses convictions avec l’exemple du Christ qui a souffert, une crucifixion atroce motiv componen l’amour plusieurs hommes. En extrapolant cette ide, Aliocha explique que «chacun est responsable de tous ». Toute la culpabilit, et componen consquent toute souffrance devrait tre commune tous l’ensemble des croyants, comme nous sommes tous coupables d’Adam et Eve travers le pch originel.
Chez Dostoevski. une moindre libert a t le dbut, la libert de choisir le Bien, qui soutient la possibilit du pch la plus grande libert a t la fin, la libert en Dieu, dans le sein de Dieu.
La dignit de l’homme et la dignit en foi exigent la reconnaissance de deux liberts, la libert de choisir la vrit et la libert dans la vrit. Mais la bont gratuite, qui seule est vraie, implique la libert du mal.
Mais si le mal exige la libert, c’est componen l’ensemble des humains que le mal et la souffrance sont produits, et donc Dieu ne peut tre blm. On ne peut pas avoir united nations monde la fois libre et bon, l’imperfection humaine rend cette coexistence impossible.
Dostoievski et le Surhomme :
Dans une lettre, Dostoevski crit:
« Maintenant supposons qu’il n’y a pas de Dieu ni immortalit de l’me. Maintenant dites-moi, pourquoi devrais-je vivre avec droiture et faire de bonnes actions, si je vais mourir entirement sur terre? … Et si c’est le cas, pourquoi ne devrais-je pas (tant que je peux compter sur mon intelligence et l’agilit pour viter l’ensemble des tre pris componen la loi) couper la gorge d’un autre homme, voler, … »
Cette thorie du surhomme, initialement cre en Raskolnikov dans Crime et Chtiment, est le rsultat d’un doute exprim dans l’existence mme de Dieu. La thorie permet Raskolnikov, sans incitation, d’assassiner deux femmes et potentiellement united nations enfant natre. Comme united nations tre suprieur, il devrait tre autoris prendre la vie de ceux qui sont moins significatifs et essentielles.
De mme, Kirillov dira. «Si Dieu existe, alors tout est Sa volont, et je ne peux rien faire de mes propres en dehors de Sa volont. S’il n’y a pas de Dieu. alors tout est ma volont, et je suis oblig d’exprimer ma volont ». Cette arrogance tonnante provient de l’absence absolue de foi dans le Christ, il n’a foi qu’en lui-mme. « Si vous vous en tirez, vous deviendrez Dieu, n’est-ce pas? » « Oui, je vais devenir Dieu ».
Cette thorie est toutefois rfute componen Dostoevski dans boy dveloppement de l’intrigue. Raskolnikov est incapable de vivre avec lui-mme aprs l’assassinat de l’usurire. Il sera fondamentalement incapable d’effacer boy sens du bien et le mal, de faire taire sa conscience morale. Au dpart, il tente de continuer vivre, jouissant de boy astuce, concluant qu’il est united nations surhomme. Pourtant, l’humble Sonya lui rappelle boy acte, lui rappelle sa culpabilit et qu’il a donc besoin du pardon. Dostoevski dtruit la thorie du Surhomme en condamnant l’ensemble des personnages impliqus la souffrance mentale jusqu’ ce qu’ils reconnaissent la vrit et la lumire du christianisme.