Au 18�me si�cle, on consid�re que la loi est un décret de la Raison et qu’il faut nécessairement lui obéir. D’autre part Jean Jacques Rousseau par sa pensée politique indique que la loi exprime la volonté d’un peuple souverain qui d’apr�s lui vote des lois qui sont nécessairement conforme à la Raison. La loi désigne ainsi la souveraineté du peuple et la Raison. Depuis le 17�me on consid�re que le pouvoir s’exerce nécessairement conformément à la raison, le pouvoir est légitime qu’il exprime les impératifs de la Raison. Cependant au 18�me si�cle on développe une idée, celle qu’il existe un être suprême qui a doté l’univers de r�gles éternelles et immuables. Un homme rationnel doit spontanément se soumettre à la loi, dans cette perspective les lois du législateur sont considérées telles des aides mémoires que chacun doit connaître en faisant usage de sa Raison, donc la loi n’est pas considérée telle une contrainte.

El�ments du langage qui associent d’une fa�on conventionnelle une suite de sons et un concept.

En philosophie politique, ce terme ne d�signe pas forc�ment un roi ou un prince. Le souverain peut tr�s bien �tre le peuple, une assembl�e d’hommes poss�dant le pouvoir de gouverner. SOUVERAIN BIEN: Ce � quoi l’individu aspire comme � une fin derni�re qui lui procurerait un contentement total.

Le mot d�rive du latin universus, qui signifie “tout entier”. Lorsqu’il d�signe les plan�tes, les �toiles, les galaxies, l’�tendue cosmique, il prend une majuscule.

Il s’agit de bien distinguer ce sens astronomique du sens usuel. Parler d’une v�rit� “universelle” ne signifie pas que l’on se r�f�re � l’infini cosmique. Universel, en ce sens, d�signe ce qui est vrai pour toute l’humanit�.

Au sens large, ensemble des forces psychiques portant � l’action. Inclinations, d�sirs, passions rel�vent de la volont� ainsi entendue. C’est la d�termination arr�t�e d’accomplir une certaine action. VOLONTE DE PUISSANCE: Cette notion n’a, dans la philosophie de Nietzsche, aucune connotation militaire, belliqueuse. Celui qui est puissant est celui qui a le courage et la force de r�aliser ce que la vie lui demande de r�aliser. VOLONTE GENERALE: Selon Rousseau, elle ne peut pas s’identifier seulement � la majorit�. La volont� g�n�rale est unanime. Elle exprime en sa totalit� l’esprit d’une communaut�.

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